Cette étude a permis de connaître en 2008 d’une part les concentrations en NO2 et en benzène en des points proches des axes autoroutiers A31, A33 et A330 avant des essais de modification de la vitesse sur ces autoroutes, et d’autre part les niveaux en poussières fines de diamètre aérodynamique inférieur ou égal à 10 microns PM10 présents au niveau de l’A33.